Beaucoup l’ignorent : le mot « islamophobie » cache un concept dangereux qui promeut le discours victimaire, prisé par les mouvance islamistes et terroristes. Il est souvent pris en "argument" pour désigner à la vindicte journalistes, intellectuels, écrivains, responsables politiques, etc et ainsi les exposer à un vrai danger. Car ce mot « fourre tout » vise à qualifier indistinctement aussi bien la critique légitime des dogmes et des religions, mais aussi des idéologies politiques comme l’islamisme, que la stigmatisation ou le racisme, eux condamnables, qui prennent pour cible les musulmans. En France, depuis 1881, la liberte d’expression a été codifiée par des lois qui posent les limites et ainsi font une distinction claire entre la critique des pensées et des religions qui est permise et la protection des croyants. En clair, le droit français ne protège pas les religions (il n'existe pas de délit de "blasphème"), mais les croyants qui, en aucun cas, ne doivent faire l’objet d’attaques en raison de leur croyance. Dans cette vidéo, Mohamed Sifaoui décrypte ces complexités et apporte des arguments tangibles pour répondre à ceux qui veulent banaliser l’utilisation d’un concept, devenu une accusation, au nom de laquelle certains islamistes menacent et tuent. #islam #islamophobia #islamophobie #musulman #actualité #analyse Crédit photos Photo de mick henson sur Unsplash Photo de Luca Di Giovine sur Unsplash Photo de Jens Auer sur Unsplash