Des associations de consommateurs portent plainte contre META.
Cette plainte met en lumière l’importance croissante de la protection des données dans les préoccupations des utilisateurs. Mais elle arrive aussi à un moment crucial où les créateurs de contenus ne sont plus tous convaincus du bien-fondé des abonnements.
META qui enfreindrait le RGPD ce n’est pas une grande nouvelle en soi. Le fait que des associations de consommateurs se saisissent du sujet est une excellente chose. Leur action devient cruciale dans cette lutte face à ceux dont les intérêts commerciaux prévalent sur les droits fondamentaux de leurs utilisateurs.
En l’absence totale d’un modèle éthique de monétisation, la data des utilisateurs est devenue une marchandise. Cette pratique soulève de nouvelles questions éthiques et légales sur le consentement des utilisateurs vis-à-vis de leurs données et la transparence dans les méthodes de collecte de données utilisées par les plateformes.
La plainte contre META n'est pas uniquement un combat juridique ; elle est le symbole d'une prise de conscience et un besoin de régulation accrue des pratiques sur les réseaux sociaux.
Elle nous rappelle l'importance de placer l'humain au cœur de la technologie, en veillant à ce que les innovations servent le bien commun et respectent les lois au moment de leur mise en place et non à cause de plaintes déposées.
Replacer l’humain au cœur des technologies, c’est notre volonté avec BeJuicy.live. Nous avons fait le choix de ne pas lier notre rentabilité aux données de nos utilisateurs ou à des publicités. Notre modèle innovant permet aux créateurs de monétiser ce qu’ils souhaitent (lives, vods, podcasts, photos, articles, pdf... hors contenus pour adultes) au prix qu’ils souhaitent, et de manière totalement transparente pour leurs communautés.
Car oui, créer du contenu est un métier qui prend du temps. Les abonnés des créateurs de contenus n'en ont pas toujours conscience, et il est bon pour réguler un secteur que toutes les parties comprennent leur rôle. Voir des contenus de qualités peut avoir un prix, un créateur peut aussi décider qu'un contenu sera "gratuit" pour son audience.
Là où les autres plateformes gagnent systématiquement au détriment du consommateur, nous ne gagnons que si le consommateur gagne.
Les plateformes vivent grâce à des abonnements pour les utiliser ou grâce à des revenus publicitaires. Revenus conséquents qu’ils redistribuent en partie à grand coup de règles soumises à des algorithmes qu’ils ont eux même mis en place pour rendre l’accès à la « monétisation » difficile pour les créateurs.
Au bout, ils gagnent beaucoup et ne reversent que très peu et uniquement aux gros « producteurs » (en termes de vues, de likes et donc de flux)
La monétisation n’est donc pas entre les mains du créateur mais bien du réseau et du publicitaire.
Ça n’est pas notre vision. Pour tendre à une utilisation plus éthique des réseaux sociaux et accéder à des contenus de meilleurs qualités il faut replacer l’utilisateur, le créateur, l’humain au centre des intérêts.
La protection des données personnelles représente un enjeu majeur des années à venir. Chez BeJuicy, nous sommes et resterons engagés à participer activement à la construction d'un écosystème numérique plus respectueux de l'individu.